C'est aussi une entame pour réfléchir et nous approprier collectivement les questions autour de la défense et de la sécurité dans un monde dangereux et qui va le rester, du fait des ressources qui s'amenuisent et des inégalités qui se creusent. Ne tombons pas dans l'angélisme (Jospin avait fait cette erreur) consistant à dire que résoudre les problèmes des gens suffirait à résoudre les questions de sécurité (au niveau local ou mondial).
Nous savons que nous sommes face à un changement de société qui va plus que probablement devoir se faire à marche forcée, avec son lot de déséquilibres, de frustrations et de violences. Nous devons avoir une réponse écologiste à ces questions, tolérante, mais aussi réaliste et ferme.
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